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Gestion du poids n°1

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nutrizen - Explicatif

La surcharge pondérale: une effrayante évolution.

Le principal problème de la surcharge pondérale est d'une part la modification de l'alimentation des animaux que nous mangeons et l'enrichissement abusif de notre alimentation par toute une série d'additifs donc en général, la qualité de notre alimentation, d'autre part la sédentarisation et pour terminer le stress global qui s'est installé dans notre société. Voyons comment ces trois facteurs ensemble vont interagir dans le stockage progressif des graisses:

Chronique d'une prise de poids annoncée

Un excès d'adiposité, diffus ou localisé, au niveau du ventre ou des fesses, est devenu un problème pour une majorité de femmes et d'hommes et bientôt d'enfants de nos régions.

De plus en plus de ces personnes sont diagnostiquées «obèses» lors d'une visite médicale! Ces troubles de la silhouette et ces surpoids ont des conséquences très néfastes sur la santé physique et sur le bien-être psychologique. Mais aussi des conséquences sur les soins de santé (sur les troubles cardio-vasculaire par exemple et l'incidence de ceux-ci sur le budget de l'INAMI).

Pour résoudre le plus confortablement possible et pour le plus longtemps possible un excès d'adiposité, il faut commencer par un bilan qui se base sur les connaissances actuelles en médecine, nutrition et psychologie des troubles du poids.

Il y a en effet de nombreuses causes de prise de poids. La plupart sont apparues avec la dérive alimentaire du monde industrialisé: En trois ou quatre millions d'années, depuis les premiers hominidés, le système digestif, la biochimie et les besoins physiologiques humains ont très peu changés mais depuis moins d'un siècle, nous mangeons, quelque fois sans le savoir, beaucoup d'aliments sucrés, des farines raffinées, de mauvaises graisses... et par ailleurs nous utilisons moins nos muscles!

Ces changements de comportement expliquent presque tous les problèmes actuels d'excès de poids, de lésions cardio-vasculaires, d'augmentation de certaines autres maladies dégénératives, inflammatoires… et de certains troubles du comportement et de l'humeur.

Par ailleurs le stress favorise la production d'insuline et le stockage des graisses. L'insécurité croissante dans un monde en permanent remaniement depuis un demi-siècle participe à l'augmentation de celui-ci.

Pourquoi et comment l'alimentation «moderne» a un effet «sucre» majeur?

Pour rappel, la glycémie (le taux de sucre dans le sang) doit rester constante, pour acheminer un taux de sucre stable et constant au cerveau notamment. L'insuline fabriquée par le pancréas est conçue pour incorporer les sucres dans les graisses et dans les muscles (spécialement ceux qui ne bougent pas. Un muscle qui est en mouvement incorpore en effet les sucres naturellement sans avoir besoin d'insuline).
 
Les glucides («les sucres») de la nouvelle alimentation humaine sont beaucoup plus raffinés ou digestibles que ceux de l'alimentation «à l'ancienne». Certains de ces glucides ont un goût sucré mais la plupart des aliments riches en glucides «rapides» ne paraissent pas «sucrant». Ces glucides rapides et abondants (comme dans le pain ou les pâtes) stimulent énormément la production d'insuline par le pancréas et cette insuline va ainsi encourager le stockage des graisses! (puisque les muscles ne sont pas en besoin… et sont des muscles de sédentaires).

Pour revenir à l'effet faiblement sucrant de l'alimentation à l'ancienne, il faut donc tenir compte de l'index glycémique des aliments et redéfinir le panier de la ménagère.

L'index glycémique

L'index glycémique est le pouvoir qu'a un aliment d'augmenter le taux de sucre dans le sang (glycémie) et donc de stimuler la sécrétion d'insuline par le pancréas. Cette insuline va ordonner le stockage des graisses dans le corps! Attention: La sécrétion d'insuline dépend du choix des aliments mais aussi de la quantité consommée (une assiette de nouilles «sucre» plus le sang qu'un verre de coca-cola!)

Les cellules adipeuses de la région abdominale sont plus sensibles à l'insuline. Un excès de sucres rapides et certains facteurs héréditaires conduisent à une accumulation de graisse abdominale. L'accumulation de la graisse dans le ventre est très toxique car elle augmente les risques cardio et cérébro-vasculaires et celui du diabète de type 2.

Le bilan médical recherche ce genre de risque et les facteurs diététiques et héréditaires.

Éviter les glucides rapides sans supprimer les "bons» glucides alimentaires!

La chasse aux glucides rapides n'exclut pas la consommation quotidienne des glucides lents qui fourniront le glucose indispensable à certaines voies métaboliques. Une diète sans glucide compromet, par exemple, le maintien d'une bonne masse musculaire et augmente les risques de reprise rapide du poids et même d'un effet "yo-yo"!

Comment savoir si un glucide est rapide ou lent?

Certains aliments qui n'ont pas le goût du sucre agissent plus fortement que le sucre de betterave!
Pour éviter les pièges de l'industrie agro-alimentaire un tableau des index glycémiques des aliments de référence est expliqué et donné aux patients.

D'autres informations permettent d'affiner l'utilisation du tableau

Ainsi, les glucides contenus dans un repas équilibré agissent moins que les glucides consommés seuls.
L'index glycémique d'un aliment diminue s'il est consommé dans un repas complet. Plus un glucide "lent» est chauffé (durée et intensité de la cuisson) ou raffiné et plus il devient un glucide rapide (par exemple: pain noir /pain blanc, carottes crues/carottes cuites, pommes de terre "al dente» et purée industrielle, etc.). Certains aliments contiennent, en plus des glucides rapides, de mauvaises graisses vite stockées...

Rapport entre les graisses

La dérive alimentaire qui concerne le rapport entre les lipides consommés est particulièrement peu visible pour les consommateurs et les professionnels de la santé non spécialisés en Nutrition. Cette dérive est un des facteurs d'apparition ou d'aggravation de très nombreuses pathologies "modernes": surpoids androïdes et généralisés, maladies cardio et cérébro-vasculaires, maladies inflammatoires, certaines dépressions nerveuses, etc. Le phénomène central commun à ces problèmes est le déséquilibre alimentaire entre les acides gras de type Oméga6 et Oméga3. Le rapport alimentaire entre ces lipides (Oméga 6 / Oméga 3) est d'environ 1 dans l'alimentation ancestrale et dans les régions où l'obésité et les maladies cardio-vasculaires sont très peu fréquentes. Il se situe autour de 20 dans notre alimentation "moderne"!!!
Un apport lipidique équilibré s'obtient en orientant nos choix alimentaires vers les légumes verts, les poissons gras, les oeufs oméga 3 et les huiles de colza et de noix... et en évitant les aliments trop riches en Oméga 6: la plupart des autres huiles alimentaires (excepté l'huile d'olive en consommation "raisonnable") et les produits qui en contiennent (plats préparés, biscuiterie, frites et chips, etc.), les oeufs "standards", même "BIO", etc.

Le danger des régimes

Une alimentation trop calorique peut ne pas apporter assez d'éléments vitaminiques et anti-oxydants qui sont nécessaire à une bonne gestion du poids. Les mauvais régimes aggravent souvent cette situation et conduisent à une évolution vers une plus grande obésité! Le bilan diététique qui se réalise avec un logiciel de nutrition professionnel permet de mettre toutes des dérives en évidence.

Améliorer la masse maigre

La masse maigre (la masse sans les graisses) doit être améliorée chez toutes les personnes qui ont un passé de multiples régimes "basse calorie", qui ne mangent pas assez de poisson et de viande depuis plusieurs mois ou années, qui ont un anneau gastrique depuis plusieurs mois, qui sont très sédentaires, qui vieillissent, qui reprennent une activité sportive, etc.

L'amélioration de la masse maigre ne s'observe pas nécessairement au niveau du volume des muscles (sauf si des exercices de musculation sont effectués dans ce but) mais au niveau du tonus physique et du poids: faire de la masse maigre (idéal pour déstocker la graisse) peut, dans les premières semaines, ajouter en muscle les kilos qui se perdent en graisse!

La manière de manger et de bouger est orientée vers l'augmentation des fibres musculaires qui sont les plus consommatrices de glucose sanguin car cette nouvelle masse musculaire et la manière de l'utiliser vont permettre une meilleure gestion du niveau de l'insuline dans le sang et donc de faciliter la diminution de la masse grasse…

Le bilan de psychologie «alimentaire»

La surcharge adipeuse peut être la conséquence mais aussi la cause de problèmes psychologiques. Certains mécanismes psychologiques peuvent être d'ordre alimentaire ou hormonal. Le trouble alimentaire le plus fréquent est la perte du «savoir manger»: la perte du rôle de l'alimentation dans le fonctionnement du groupe, familial et professionnel, la perte de certaines traditions alimentaires basées sur les ressources locales et adaptées à la nécessité de maintenir le plus longtemps possible un corps vivant et efficace, etc. La négligence alimentaire extrême peut être une conséquence d'un manque d'estime de soi, d'un état dépressif… Le chaos alimentaire et l'aberration alimentaire qualitative et quantitative qui en résultent sont responsables, outre la prise de poids, de troubles psychologiques (pouvant conduire eux-mêmes à des troubles aggravés du comportement alimentaire…).

Un trouble très fréquent est la prise alimentaire comme réponse à un stress chronique (par incapacité à répondre à une exigence de compétitivité sociale, par exemple). Cette situation est une explication plausible de l'augmentation des cas d'obésité là où il y a beaucoup de ces frustrations sociales et un accès facile et encouragé à une nourriture inadaptée aux besoins physiologiques.

Parmi les autres «troubles du comportement alimentaire» on trouve la boulimie et l'hyperphagie, le conditionnement ou dépendance au sucré, la «chocolatomanie», etc. L'anamnèse de certains de ces troubles peut révéler des traumatismes psychologiques graves dans l'enfance ou l'adolescence.

L'approche transdisciplinaire proposée intègre donc l'ensemble des connaissances sur les facteurs les mécanismes qui conduisent à une augmentation des réserves adipeuses et aux difficultés à les faire diminuer.
Les solutions nutritives proposées exploitent des innovations du domaine agro-alimentaire pour faciliter les corrections indispensables.
Les solutions psychologiques éventuellement proposées exploitent des innovations dans le domaine de la technologie du mental et les approches psychologiques tournées vers la solution rapide et durable.
Les solutions de remise en mouvement exploitent également les innovations en matière d'augmentation quantitative et qualitative de la masse maigre.

POURQUOI ON PEUT GROSSIR SOUS STRESS?

Il existe trois raisons qui expliquent pourquoi on peut grossir lorsque l'on est soumis à des stress répétés:

  1. Stress et perturbation de la digestion

    La relaxation est intimement associée à la digestion car lorsqu'on se détend cela ouvre les voies digestives et inversement quand on entre en digestion on se détend par la même occasion. Le système nerveux autonome enclenche en effet ces deux voies en même temps. Alors que sous stress la tension musculaire est activée pour pouvoir réagir dans l'action et la digestion est coupée pour privilégier l'apport de sang non pas vers le tube digestif (qui monopolise une part importante de la masse sanguine) mais vers les muscles et le cerveau, encore et toujours, pour privilégier l'action (c'est le fameux mécanisme de survie en cas de danger décrit par Selye, l'inventeur du concept de stress = réponse d'adaptation au changement et notamment au danger).

    Relaxation et digestion sont donc des voies qui fonctionnent de concert. Bon nombre de personne se dirige ainsi inconsciemment vers le frigo pour se détendre en profondeur et confonde envie de nourriture avec envie de paix et de détente profonde.

    En se détendant régulièrement et en faisant du sport on empêche autant que possible cette confusion.

  2. Stress et sucre dans le sang

    La graisse du ventre principalement est sensible à l'insuline; Habituellement, chez quelqu'un de normalement constitué qui n'est pas sédentaire, quand le sucre monte dans le sang le pancréas active l'insuline pour l'incorporer dans les muscles et dans les tissus gras; Les personnes développant une activité physique intègrent donc le sucre naturellement vers les muscles (sans avoir besoin de fabriquer de l'insuline); les sédentaires par contre induisent la fabrication d'insuline car les muscles ne jouent plus leur rôle d'«incorporateurs» de sucre et car le taux de sucre (la glycémie) doit rester très stable dans le sang. Quand le glucose augmente chez les sédentaires, la graisse augmente donc.
    Par ailleurs, le stress a tendance à faire monter le glucose dans le sang et libère l'insuline car le sucre prépare à l'action! Le carburant est sur place …. Les personnes sous stress fabriquent donc plus volontiers de l'insuline. Celle-ci incorporant ainsi les sucres dans le tissu adipeux.

    On voit donc aisément pourquoi en cas de stress la voie automatique est l'incorporation du sucre dans le sang vers les graisses.

    On peut donc grossir avec le stress car:

    • d'une part la digestion est perturbée ou carrément coupée et cela induit une tendance à vouloir manger PLUS en réalité pour se détendre inconsciemment
    • d'autre part car le stress stimule l'insuline et favorise l'intégration des sucres dans le tissu adipeux.

    L'idée de produire un régime à basse calorie pauvre en protéine est donc mauvaise car les muscles n'ayant pas assez de protéines pour se développer ou SE MAINTENIR dégénèrent progressivement et deviennent, petit à petit, de pauvre carburateur à glucose, celui-ci allant naturellement s'incorporer dans les tissus adipeux

    De plus cette façon de vivre, de manger et de se comporter favorise l'apparition d'un diabète, le diabète de type 2, puisque cet état de fait provoque une fabrication surdéveloppée de l'insuline et l'hyperfonctionnement du pancréas.

  3. Stress, émotions et prise ou perte de poids

    Le stress et l'état émotionnel de manière générale influencent le comportement alimentaire et le poids du corps. Cela s'observe souvent au cours de toute vie normale chez toutes les personnes, même de poids normal, comme durant les heures qui précèdent une épreuve scolaire ou après une rupture sentimentale. Le mal-être psychologique créé par ces situations peut changer le comportement alimentaire: Couper la faim chez certains, augmenter l'envie de certains aliments chez d'autres ou encore augmenter le besoin de grignotage salé ou sucré selon les personnes.

    L'humeur triste par exemple augmente l'envie d'aliments sucrés qui ont un «effet plaisir» immédiat par leur saveur mais aussi un effet sédatif indirect via le métabolisme cérébral. Ce mal être s'accompagne également d'une augmentation de certaines hormones de stress qui peuvent faciliter le stockage de graisses…

Cercle vicieux

La mauvaise nutrition encouragée par ces états psychologiques cause ou aggrave, à son tour, des dysfonctionnements psychologiques: Fatigue chronique chez ceux qui privilégient les sucrent au détriment des aliments «protéinés», «dépressivité» augmentée par le manque en bons lipides alimentaires, sommeil plus long mais moins réparateur chez ceux qui mangent très glucidiques, etc.

Bilan

Tous les liens déjà connus de cause à effet entre l'état psychologique et le contenu de l'assiette expliquent la nécessité d'une gestion globale de certains problèmes émotionnels et de stress et de beaucoup de problèmes de surpoids par l'apprentissage de la gestion des émotions et par la correction nutritionnelle. Cette approche globale peut être nommée la «Psycho-Nutrition».

Cette approche globale est bien évidement particulièrement indiquée chez les personnes dont l'hérédité facilite la prise de poids mais on constate aujourd'hui un impact sur l'entièreté de la population du fait de la combinaison de facteurs synergiques: société en changement, alimentation modifiée, sédentarité.

En se combinant ces trois facteurs provoquent une tendance à l'obésité croissante de la population.

Ce jeu entre psychologie, niveau de sédentarité, nutrition et hérédité est étudié lors du bilan d'un trouble du poids qui peut conduire à la solution la mieux adaptée au problème et pour une résolution de celui-ci à long terme.

Les solutions nutritionnelles comprennent une correction des apports avec pour référence les équilibres alimentaires de l'alimentation pratiquée par l'homme depuis plusieurs millions d'années jusqu'à la dérive alimentaire de ces dernières décennies.

Cette dérive industrielle d'une part et la pratique de régimes dits «amaigrissants» ont provoqué:

La correction nutritionnelle proposée et adaptée aux choix et au comportement alimentaire de chacun, vise à rétablir les bons équilibres entre tous les apports nécessaires à la physiologie humaine.

La mobilisation des réserves adipeuses et le maintien d'un poids de forme à long terme sont également dépendants de la quantité et de la qualité de l'activité physique.

La problématique de l'aspartame (la phénylalaline)

La phénylalanine est un acide aminé (un composant classique des protéines). Il n'existe à ce jour aucune étude sérieuse mettant en évidence un aspect nocif ou dangereux de l'aspartame. Tout au plus des rumeurs sur l'Internet, probablement élaborées par le lobby du sucre, qui a perdu pas mal de part de marché suite à l'introduction massive des différentes marques d'édulcorants sur celui-ci. L'aspartame remplace en effet élégamment le sucre en alternative à la saveur sucrée. Il est donc plutôt indiqué de remplacer le sucre par ces édulcorants sans aucun dangers.

Les limonades et les boissons de manière générale

Les limonades sont une véritable calamité en matière de sucre. Qu'elles soient sucrées ou «light» on comprend que ces deux catégories comportent toutes deux des désavantages. La recommandation est donc de tenter d'éliminer le goût sucré, autant que faire se peut, dans l'alimentation et dans le choix des boissons et plus particulièrement celle des enfants. Il faut retarder, le plus possible, l'introduction des boissons type limonade au cours de la vie de l'enfant. Cette recommandation prend tout son sens en ce qui concerne la synthèse des adipocytes qui s'effectuent dans l'enfance. En limitant l'apport de sucre dès le départ, on limite la création des futures poches à tissu adipeux. Pour les enfants, on recommandera donc les boissons naturelles à base de fruits sans sucre surajouté et de l'eau. Pour les adultes: idem et les boissons à base de jus de légumes, le thé avec du miel comme apport sucrant naturel (et tout une série de composants riches pour les autres fonctions physiologiques).

Un esprit sain dans un corps sain 

Pour contrer ce phénomène de société, les SOLUTIONS à combiner sont:

  1. Adopter une activité physique régulière, minimum trois fois par semaine.
  1. Pratiquer de la relaxation pour éviter la compulsion vers la nourriture alors que le réel besoin est la détente et d'autre part minimiser la préparation à l'action et la fabrication anormale de l'insuline en état de stress.
  1. Adopter un régime riche en protéines pour donner au muscle la possibilité de se développer et retrouver son rôle de carburant au glucose apporté par l'alimentation.
  1. Adopter une alimentation à indice glycémique bas. Il faudrait diffuser à large échelle un petit tableau avec l'index glycémique des aliments. Avec le pain, les biscuits le riz et les pâtes, glucides lents, le glucose dans le sang monte très vite (idem les carottes cuites).
  1. Les aliments à indice glycémique bas: carottes crues, fraises, pamplemousse, pois, céleri, tomates, aubergines, courgettes, concombre, laitue, poisson, viande par exemple.
  1. Manger bio (augmente la qualité de l'alimentation et favorise un indice glycémique plus bas).
  1. Manger moins (se servir une assiette et ne PAS) se resservir!
  1. Préconiser les édulcorants plutôt que le sucre surajouté (les boissons light).
  1. Favoriser le bilan nutritionnel dans les entreprises et via les médecins spécialistes.