L’esprit pourrait bien être beaucoup plus puissant que nous le pensions.
Grâce aux études scientifiques, depuis 50 ans, notamment les études contre groupe PLACEBO, on sait précisément aujourd’hui que l’esprit peut fabriquer la plupart des médicaments et des molécules nécessaires à l’auto-réparation. On peut fabriquer des analgésiques, de la morphine, de la caféine, des amphétamines et bien d ‘autres substances comme des anti-inflammatoires ou des antidépresseurs… Cela s’applique aussi bien sûr aux aliments que l’on mange et qui en fonction de la pensée vont bénéficier ou non d’un effet de synthèse endogène. C’est la raison pour laquelle il existe aujourd’hui un flou artistique complet en matière de nutrition.
En ce qui concerne, l’auto-réparation. c’est un processus naturel de l’organisme humain. Chez l’homme, il est ACTIVE lorsqu’un scénario mélange la bienveillance dans le cadre d’un environnement émotionnel positif. On parle de bienveillance lors de la relation thérapeutique mais aussi lors de l’automédication. En effet, prendre soin de soi déclenche aussitôt l’effet PLACEBO, l’effet d’auto-réparation. ! La bienveillance vis-à-vis de soi-même et le simple fait de se donner une gélule et de la porter à sa bouche déclenche, quoique qu’en moindre mesure, la procédure d’auto-réparation. Même prendre rendez-vous à l’établissement de soin ou chez un thérapeute démarre déjà en partie cette procédure ! En clair, que se passe-t-il ? L’esprit symbolise le problème et génère le médicament là où il doit être appliqué. Exactement comme si des briques de votre maison étaient abîmées et que vous génériez aussitôt les produits pour les reconstituer. Votre pharmacie interne ( placée dans vos réserves et probablement aussi dans le microbiote de votre intestin) contient toutes les éléments nécessaires pour reconstruire ces murs. Si de la mousse attaque les briques, des produits anti-mousses sont générés, …automatiquement. Votre organisme est conçu pour s’auto-réparer. Il existe cependant des conditions pour que cette procédure s’active : la volonté, l’intention, l’émotion positive, l’énergie, la bienveillance sont les clés de l’auto-réparation.
Vous comprendrez aisément que l’intention placée dans les AUDIOCAMENTS, les suggestions métaphoriques apaisantes et la chaleur des voix bienveillantes sont des facteurs clés qui vont particulièrement bien rencontrer cette procédure.
En ce qui concerne à présent la biochimie de l’esprit et un des grands problèmes de notre temps : l’anxiété et la dépression ; Essayons d’approcher comment le dispositif PSIO fonctionne plus précisément :
Comme vous le savez , nos pensées sont teintées d'émotions ; celles-ci sont véhiculées grâce aux neurotransmetteurs et aux récepteurs synaptiques des neurones qui s'adaptent au fil du temps aux produits générés par telle ou telles émotions. Nos émotions dictent ainsi la structure de notre tissu cérébral intime et son addiction à certaines substances biochimiques aussi puissantes que l'héroïne (endorphines, acétylcholine, adrénaline, acth, etc.
La tristesse, la mélancolie, la colère ou la haine produisent ainsi des substances qui vont modifier et définir le tissu neural à force d'années… et influencer ses besoins propres… Si on tombe en dépression, il n'est pas aisé d'en «sortir» car le cerveau est dans un type de consommation et de carburation biochimique bien spécifique. La structure même des connexions est modifiée. Une sorte de cercle vicieux s'installe. Notre humeur se fige… et nos pensées avec elle !
En modifiant nos pensées et en générant nous-mêmes des états émotifs positifs comme la paix, la sérénité, la joie, l'Amour, la tolérance, le pardon, la non rancœur, la compassion, l'empathie, etc. nous modifions la qualité de la neurotransmission et la façon de fonctionner des réseaux neuronaux de notre cerveau. De même, nous modifions les récepteurs à ces drogues dont certaines sont nuisibles et dangereuses pour la qualité de notre conscience.
En adoptant régulièrement les exercices proposés dans le dispositif PSIO, nous modifions ainsi progressivement les mécanismes de transmissions dans notre tissu neural et par là notre capacité de perception de la réalité.
Il est particulièrement difficile pour un déprimé ou un anxieux d’adopter naturellement une pensée positive et de décider, un matin par exemple, de fonctionner dans la joie. Demander cela peut même être choquant pour la personne concernée qui se sent alors incomprise et qui ne se sent pas prise en considération car cela lui semble impossible et c’est probablement le cas. C’est un peu comme si vous demandiez à un cube de rouler…
Pour s’adresser à un dépressif, il est donc inutile de lui demander de faire de la visualisation positive ( voir les séances de méditation du matin) . Au contraire, il est bon de prescrire les AUDIOCAMENTS et la suggestion indirecte (les séances du soir) qui imposera littéralement à sa conscience des images métaphoriques apaisantes et positives.
Et il sera conseiller de les écouter chaque soir (séance encodées de lumière rouge) avant de s’endormir et chaque après-midi (séances encodées de bleu), ceci pour créer progressivement un nouveau conditionnement neural.
L’avantage du dispositif PSIO ou d’enregistrement tels que les AUDIOCAMENTS c’est qu’ils permettent de s’induire à soi-même une émotion positive. L’individu peut à loisir se stimuler positivement sans devoir faire aucun effort comme c’est le cas en méditation où une sollicitation de l’attention et une grande concentration sont de mise.
Voici un exemple concret d’utilisation du PSIO dans le cadre de la dépression pour modifier la biochimie neuronale plus aisément :
Exercice dans le lâcher prise de l’attention
Création d’image positive dans le champs de conscience (automatiquement) – sans effort
Apprendre le lâcher prise de l’attention et reprise de celle-ci ( aller-retour comme une gymnastique )
Entrer en alpha puis thêta par induction des stimulations lumineuses – permet de se stabiliser dans cet état de cohérence neurale
Utiliser la longueur d’onde 470 nm pour stimuler l’horloge biologique, hormonalement parlant, en mode « jour »
Exercice dans l’attention (demande plus d’effort)
Sortir du temps et se centrer au présent dans la sensorialité
Respirer dans la présence
Visualiser positivement
Entrer en cohérence cardiaque et synchroniser son pilote automatique ( para-sympathique/ sympathique)
La méditation reste une activité accessible aux personnes en bon état de santé et en équilibre. En effet, elle demande une certaine volonté, un effort et une énergie minimale qui n’est pas donnée à tout moment de la vie.
C’est la raison pour laquelle, dans la plupart des cas de problèmes dû au burn out, elle est inaccessible.
Nous prescrirons donc des séances qui ne demandent aucun effort, comme les séances AUDIOCAMENTS, des enregistrements qui génèrent automatiquement des IMAGES et des émotions positives et apaisantes, sans efforts à faire.
Voyez donc, les séances du soir pour ces cas précis.